
Nathan, 21 ans, ne supporte plus de voir la maltraitance des animaux et la pollution qu’engendrent les élevages de masse. En revanche, impossible de faire une croix sur un bon steak saignant ! Alors comment faire ?
Le végétarisme existe depuis bien longtemps et tout le monde en comprend le sens. Le flexitarisme est beaucoup plus récent. Ce terme a vu le jour dans le dictionnaire américain en 2003.
« Je mangeais de la viande à midi et soir ! »
Désormais, Nathan consomme de la viande ou du poisson qu’une à deux fois par semaine. Selon lui, lorsque l’on prend conscience de la composition des produits alimentaires, il n’est pas difficile de les sélectionner et de privilégier la qualité. Le plaisir est d’autant plus grand et les bienfaits sont bel et bien présents sur la santé : prévention des maladies cardiovasculaires et de l’obésité. Oubliez les produits de grande consommation dont la provenance nous est inconnue, et bienvenue aux produits de saison et de préférence locaux ! Être flexitarien c’est avoir un régime alimentaire proche du végétarien mais à temps partiel ! Le flexitarien prône simplement l’alimentation de qualité. Et cela va sans dire, en plus d’être un mode de vie écologique mettant à l’honneur les agriculteurs de proximité, votre portefeuille vous dira merci !
« En plus, j’ai fait des économies ! »
Lorsque l’on commence un régime alimentaire « écolo », les courses se limitent au nécessaire. Fini les petits gâteaux à 4 € la boîte, fini la pizza surgelée à 3 € ! Il est préférable de se mettre au fourneau. Ainsi, pour 4 € d’ingrédients, vous obtiendrez 50 à 60 gâteaux en 10 min. Cela vaut le coup, non ?